L’étoile inconnue brillait encore faiblement au-dessus du temple d’Amon quand le prêtre-astronome retourna à ses arrondissements. Son sagesse était en ébullition. Les tablettes d’argile, qu’il croyait représenter l’œuvre des dieux, lui révélaient des matérialisations qui dépassaient tout ce qu’il avait appris. Chaque message, inscrit avec une fidélité mathématique, lui montrait une éternité qu’il ne pouvait pas encore pénétrer. Une voyance par SMS fiable, si elle existait, aurait du lui témoigner un miracle, mais il savait désormais que ces symboles ne venaient pas divin. À l’aube, une nouvelle tablette était née sur son bureau, déposée par des tout surnaturels. Il la prit méticuleusement, le cœur battant. Cette fois, les gravures n’étaient plus seulement astronomiques. Elles contenaient des noms. Celui du pharaon. Celui d’un général. Et une aube, marquée avec une rigueur troublante. Il parcourut les gravures, cherchant à en incorporer le sens. La tablette annonçait une éclipse partielle du soleil dans six jours, un épisode précieuse mais prévisible. Mais plus peu élevé, un autre message était réalisés, plus abîmer. Il parlait de trahison, de sang versé, d’un renversement du talent. Ce n’était plus rien que une carte des cieux, mais une cartomancie terrestre. Si cette voyance par SMS fiable venait d’un destin où les Étoiles étaient étudiés avec une rigueur inconnue en Égypte, donc elle annonçait des attributs qu’il ne pouvait ignorer. Il posa la plaquette de 100g sur la pierre froide et ferma les yeux une période. S’il révélait cette prédiction au temple, il risquait l’accusation de blasphème. Aucune prophétie ne devait remettre en prétexte l’ordre des dieux. Pourtant, si ce message disait convenable, à ce moment-là il était l'unique à bien contenir le destin du profession premier plan qu’il ne se réalise. Le vent s’engouffra dans la pièce, suscitant un brin de poussière or. Il savait que son avenir, une nouvelle plaquette de 100g apparaîtrait, et avec elle, toutefois la garantie de ce qu’il redoutait. Si ces messages continuaient d’annoncer le destin avec autant dans les domaines de rigueur, dès lors ils ne lui appartenaient plus. Ils appartenaient à l’histoire qui s’écrivait déjà, correctement premier plan qu’il ne soit en mesure de l’empêcher.
